En 1964, un groupe d’ingénieurs et de gestionnaires d’une société industrielle japonaise ont pensé pouvoir révolutionner la surjeteuse industrielle, qu’ils ont fabriquée, en la destinant à un usage privé.
C’est ainsi qu’est née la marque Baby Lock, la première surjeteuse domestique mise sur le marché. Cela a permis aux amateurs de couture de produire des vêtements avec des coutures et finitions comme les fabricants de vêtements industriels.
La surjeteuse exécute plusieurs fonctions en même temps.
La forte pression du pied-de-biche sur les griffes entraîne le tissu vers l’arrière et le couteau égalise la marge de couture.
Son système est doté de deux boucleurs qui travaillent avec les aiguilles du haut formant un point de surjet, similaire au crochet, contrairement à la machine à coudre qui forme un point noué. La surjeteuse propose différents types de points, tant pour les coutures ouvertes que fermées. Selon les modèles, elle offre diverses finitions pour les ourlets.
La machine à coudre aura toujours la première place comme équipement.
La surjeteuse est une machine secondaire qui empêche l’effilochage et qui a de grandes propriétés dans les tricots. De plus, il existe différents pieds-de-biche qui peuvent s’acheter séparément pour la pose d’élastique, de perles, de paillettes, de passepoil ainsi que les ourlets invisibles et le fronçage.
Bien que la majorité des surjeteuses se ressemble au niveau de leur fonctionnement, les ingénieurs de la marque Baby Lock ont développé en 1993 le système à jet d’air, unique en son genre.
Miss Rouge à Lèvres 💋
Une surjeteuse est un outil de travail exceptionnel, elle vaut la peine d’être apprivoisée !
Voici l’anatomie d’une surjeteuse. ↓
Les passions de Miss Rouge à Lèvres 