Une slasheuse à voilette!

Chronique de « La brebis à 5 pattes »
par Lyna T.

Bibi candy – Crédit: Elina Timsit

Extrait : Je suis des cours de couture vintage depuis deux ans et je possède une trollée de robes/chaussures vintage. Ce hobby qui n’était là que pour m’obliger à sortir pendant la dépression post-partum, c’est transformer en véritable passion, comme souvent quand j’aime quelque chose. Je prends des cours avec Miss Rouge à lèvres, aka Marie-Andrée, aka la Best des Best profs de couture du monde.

Elle est disponible ici: http://www.coutureetrougealevres.com

Cette femme exceptionnelle a su insuffler un peu de vie à ma descente aux enfers et m’a permis de découvrir les mystères de la couture, que j’avais envie de découvrir depuis longtemps. Depuis j’ai effectué pas mal de projets, du corset en passant par le maillot de bain. Mais mon coup de coeur a été pour les bibis, ces petites parures de tête à plumes. En effet, si un projet de couture est susceptible de prendre beaucoup d’heures (25h pour un corset par exemple), les bibis, eux, peuvent se monter en 3h. C’est donc quelque chose que j’effectue fréquemment pour me vider la tête. Mais voilà, mon côté entrepreneure m’a mis en lumière le potentiel de la chose et je rajoute donc une nouvelle corde à mon arc.

Je reste éditrice/ accompagnante en écriture/spécialiste en services linguistiques à temps plein, mais je deviens aussi officiellement créatrice de bibis à temps partiel.

Et cela vient compléter (pour un moment du moins) mes besoins. Si j’adore mon entreprise Prolepse qui possède déjà plusieurs volets, le côté manuel me manquait. Je ressentais un vide que je n’arrivais pas à combler et ça me chicotait. Rien de grave ou de dommageable, mais c’était quand même un souci. Quand j’ai suivi le cours de bibis, ça a été la révélation, car si mon horaire est déjà trop chargé pour me remettre à la conception de bijoux ou pour évoluer dans la couture traditionnelle, les bibis sont l’objet parfait à produire dans ma situation: quelques heures de production, matériel et produit final qui n’occupent pas trop de place, infinité de possibilités.

Atelier créatif de Miss Rouge à Lèvres : Bibi à voilette

Miss Vay, Beauté & Plus
article écrit ​par Line Godin

Extrait : Je vous avais déjà présenté Marie Andrée Legault alias Miss Rouge à Lèvres, dans un de mes tout premiers articles. Depuis, j’en ai fait ma professeure de couture attitrée et une précieuse amitié en est née. Tiré de son site web, voici un extrait de sa biographie:

 «Diplômée en Haute Couture et ayant une grande expérience dans l’industrie de la mode, elle démarre en 2015 un programme de couture spécialisé après avoir exercé l’enseignement durant plusieurs années chez Excelle machine à coudre. Depuis, elle transmet sa passion et son expérience dans ce domaine.»

Depuis la création de Couture et Rouge à Lèvres, de nouveaux ateliers couture s’ajoutent à chaque session. Mais cette année, il a de la nouveauté pour celles pour qui les machines à coudre font peur, mais qui n’ont pas moins la fibre créative: des ateliers créatifs d’une durée de quelques heures chacun.

Le 22 avril dernier, j’ai participé au tout premier atelier «Bibi à voilette» en charmante compagnie. J’ai eu le plaisir de retrouver des copines rencontrées lors de précédents cours et de faire d’agréables nouvelles rencontres….

À vos aiguilles! Miss Rouge à Lèvres dans La Presse+

Publication dans la Presse+
par Charles-Edouard Carrier

La Presse+

Extrait : Marie-Andrée Legault est une artiste burlesque qui se produit depuis sept ans sous le nom de Miss Rouge à lèvres. Diplômée en haute couture, enseignante en couture et forte d’une expérience dans le domaine de la corseterie et la confection de costumes, elle fonde son école Couture et Rouge à Lèvres en 2015.

Elle offre des cours aux adeptes du burlesque et de vêtements vintage. Miss Rouge à Lèvres adopte elle aussi une approche par projets : imperméable, maillot de bain à la Monroe, pantalon capri, petites culottes, soutien-gorge, corset, etc.

« Dans les écoles, c’est souvent des cours sur plusieurs semaines, alors qu’on me demandait plutôt des techniques spécifiques. J’ai donc commencé à donner des cours sur des techniques de base souvent utilisées dans le burlesque. Et comme je m’habille vintage et j’aime le look pin-up, j’ai ajouté des cours de robe et jupe vintage, puis la lingerie. J’ai choisi le glamour et le sexy », explique Miss Rouge à lèvres. Dans sa classe, on trouve des femmes qui s’assument dans leur sexualité et leur beauté. « Ce sont des femmes qui ont envie de mettre leurs courbes en valeur », explique l’artiste burlesque.